Je me lève et pars à la fenêtre pour voir si Axel est sur la terrasse du voisin. Je le vois dans la piscine. Je sors pour le rejoindre. Il a dû finir sa séance de sport. Il a son casque sur les oreilles il ne m'entend pas rentrer dans l'eau et venir derrière lui. Je le sers dans mes bras et je lui dépose un bisou dans son cou et lui retire son casque. Il se retourne pour m'embrasser et me prend dans ses bras. Je m'y sens tellement bien. Je l'informe qu’il faut que j'aille faire des sacs. Il se sépare de moi à contre cœur et rentre à la maison pour prendre une douche.°

Je me lève ce matin avec un mal de tête affreux. Je décide de rester coucher le temps que sa passe. Quand j'arrive finalement à me lever il est tard. Je pars et Axel m'appelle. Je lui dis que je suis en train de ranger ma voiture place Volf. Il me rejoint et on rejoint les autres sur le transfert. Jamie tient à me présenter son chien un peu concon. Heureusement qu'Axel n'est pas là, il aurait flipper. En ce moment on est beaucoup et on est obligé de se séparer en deux groupes. On enchaine donc les transferts et j'évite le plus possible de finir en check. Je ne suis pas prête.

*** Pas grand-chose à dire sur cette journée. Du coup je vous ai mis un long passage sur son passé. L'histoire ne s'arrête pas là vous aurez d'autres éléments dans les prochains jours. Ça me prend pas mal de temps à écrire tout ça et je n'ai pas toujours la motivation d'écrire. Je sais qui yen à qui suive ses aventures. J'espère que le journal vous plaît. Je vous aime

** Bip... Bip....Bip... Bip....

Je passe une nuit assez calme, c'est reposant. Je décide de descendre en ville me faire une tenue de sport et de rejoindre Axel. Il est très content et surpris de me voir. On part faire du yoga tous les deux au bord de la plage. il me fais la remarque que mon débardeur a tendance à remonter quand j'ai la tête en bas. Je rigole à sa remarque. On remonte ensuite à la villa pour prendre une douche avant d'aller travailler. °

Je me réveille en sueur. Je me revois encore en train de tiré cette balle. Pourquoi ce souvenir me hante encore ? Je me lève et pars dans le coffre pour prendre un pochon de weed. Je dépose un bisou sur la joue d'Axel et je m'attrape un plaid à mettre sur mon dos car il fait frais. Je regarde le pochon et je repense à ce qui m'a amené à tirer cette balle. C'est à ce moment que j'ai ouvert les yeux sur tout ce qu'il me montrait pas.

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Tout est noir autour de moi. Je distingue un son qui met familier. Des jetons qui s'entre choque... La lumière s'allume et je me retrouve une fois encore dans se sataner bureau. Je suis assise sur une chaise face à lui. Il joue avec des jetons. Ce bruit... Mon addiction me rend un peu nostalgique. Il me sourit « Je sais que ça te démange de vouloir jouer. C'est grâce à ses petites pièces que je t'ai eu. Tu réchauffais mon lit grace à ses pièces innocentes. Tu m'as toujours été redevable envers moi. » Il se lève et vient derrière moi avant de continuer « Tu sais ce que je fais aux mauvais payeurs... » Oui... Oui je le sais... Il poursuit « Habituellement je les fais souffrir en m’en prenant à leurs proches. Mais je ne sais pas avec toi j'ai envie de faire autres choses. Tu me l'as tellement mis à l'envers que j'ai juste envie de faire une chose.... Te tuer... Mais devant ses yeux... ». Il retourne mon siège et il fait entrer ses sbires qui tiennent un homme. Je reconnais ses cheveux... Axel ! Non pas ça ! Ils lui relèvent la tête pour qu'il ne rate rien à la scène. Je vois la panique dans les yeux Axel. Oscar me susurre à l 'oreille « Je vais donner ta dette à quelqu'un d'autre. Et pour qu'il comprenne bien l'importance de cette dette, je dois te tuer... ». J'ouvre la bouche pour protester mais aucun son ne veut sortir sauf un « Axel... ». Oscar prend son couteau et le plante dans le ventre. J'entends Axel hurler. Je m'écroule de ma chaise et je tombe au sol. Il lâche Axel qui fonce vers moi « Ma chérie non... Accroches toi ! ». Je me sens partir, j'entends le bruit d'une arme qui se charge. Axel me sert dans ses bras et me murmure « Je ne pourrais pas vivre sans toi... ». Je ferme les yeux je sens mon âme quitter mon corps... Un coup de feu... c'est la dernière chose que j'entends avant de sombrer....

Je me lève Axel va remonter de son sport. Moi je pars changer ma coupe car Wendy à rechanger la sienne. J'ai reçu un message de Maxine, ça fait quelques jours qu'on ne l'avait pas vu. Je me fais une nouvelle tenue tant que je suis en ville. Elle dit qu'elle doit descendre à pied à l’aéroport. Je lui propose de l'amener, elle accepte. Je préviens Axel qui lui est en train de prendre sa douche. Dois-je en parler à Maxine de nous deux ?

Je me réveille seule grand dans ce lit. Il a dû partir faire son sport. J'ai passé une nuit paisible, sa faisais longtemps. J'envoie un message à Axel. Il me dit qu'il remonte à la maison pour prendre sa douche. On rentre et je m'installe sur le lit le temps qu'il prenne sa douche. Je me dis finalement que je vais aller l'embêter et l'espionner. Il ne m'a pas entendu entrée. Je me plaque contre le mur et je passe ma tête vers le bord pour l'espionner. Il ne me voit pas. Je décide de le rejoindre. Je le surprends en lui déposant un bisou dans le cou. Il se retourne et m'embrasse. Je rougis il est si beau.

J'émerge doucement. Ses bras m'entourent je me sens bien. Une nuit sans cauchemar c'est ça que je voulais je repousse ses bras pour me lever, ouvre légèrement les rideaux pour avoir un peu plus de luminosité. J'observe l'extérieur pensif. Tout à coup mon instinct se réveille et me dit que quelque chose cloche. La chambre est silencieuse... Trop silencieuse. Je me retourne lentement et je vois Axel inerte sur le lit. Je retiens mon cri d'effroi. Son sang recouvre les draps blancs. Sa gorge est tranchée. Mon cœur se brise, une douleur survient dans ma poitrine. Je m'approche doucement et je ferme les yeux à plusieurs reprises pour sortir de ce cauchemar mais rien n'y fait. Je m'écroule, les larmes m'envahissent. Mon souffle est coupé... J'ai perdu une partie de moi... J'entends alors une voix derrière moi « Maintenant tu sais ce que c'est de perdre l'être que tu aimes le plus au monde... ». Cette voix je la reconnais, c'est celle de mon paternel. Une autre voix me parvient, celle d'Oscar, « Tu aurais pu le sauver si tu n'étais jamais venu au monde. Tu es une égoïste. Tu aurais pu éviter tellement de souffrance. ». Mon paternel ajoute « Je n'aurai pas eu un boulet dans mes pates. J'aurai dû vraiment te tuer ce jour-là. ». Je mets mes mains sur mes oreilles je ne veux plus les entendre, mais rien n'y fait. Mon regard reste fixé sur les yeux inertes d'Axel. Je veux mourir. Je ne veux plus entendre leur reproche. Mon cri sort alors de ma gorge....

Je marche dans le long couloir qui mène à son bureau. La porte est ouverte et j'entre. Il est assis sur son canapé « Tu me disais que tu ne pouvais pas tuer, que tu ne serais jamais comme moi. Mais maintenant tu les. Cruelle et impitoyable comme moi. ». Comment peut-il me dire ça ? Je le regarde « Je ne serai jamais comme toi ! ». Il sourit et me dit « Oh mais si ! Regarde tes mains. ». Je baisse mon regard sur mes mains. Tous ce sang. Je me fige sur place. D'où vient tous ce sang ? Mon regard se dirige vers le sol. J'ai laissé des empreintes de sang sur le sol. Je me dirige vers le couloir et une scène atroce se dévoile devant mes yeux. Une pile de corps entasser le long du couloir. Tous avaient la gorge trancher, le sol était rempli de sang. C'est moi qui ai fait ça ? Oscar se glisse derrière moi et souffle à mon oreille « Tu vois . Tu es un monstre comme moi ! ». Sa voix résonne dans mes oreilles, je ferme les yeux pour ne pas l'écouter et me réveillé mais je n'y arrive pas. Je me retourne brusquement et je le vois au sol la gorge trancher et son regard s'éteint. Je remarque un couteau ensanglanté dans ma main et une arme dans l'autre. Sa voix résonne encore « Tu es un monstre Oda. Et tu sais ce que l'on fait au monstre . ». Je tremble, j'entends le bruit d'une arme charger devant moi. Il se tient debout et me braque avec son flingue. Que fait il ici ? Il dit « On les tue ! ». Et mon père appuie sur la détente.